Meneur de sa propre vie
« Être meneur de sa propre vie, de son projet, c’est à la portée de chaque individu »
Il est loin le temps où Victor Hugo pouvait écrire : ” Le Suisse trait sa vache et vit en paix. “ Aujourd’hui la vie même du peuple suisse est suspendue au volume, donc à la supériorité technique et au prix de ses exportations. L’industrie suisse vit dans le dur climat de la concurrence mondiale, au prix d’un effort incessant d’invention dans la fabrication et les méthodes de vente, grâce à la qualité d’une main-d’œuvre bien payée, grâce aussi à ses chefs d’entreprises. Elle est individualiste ou elle meurt.
Et pourtant la Suisse:
La singularité de la Suisse ne naît pas de son isolement, mais au contraire du réseau de liens économiques et financiers qui l’unissent au monde entier. Elle est ouverte, elle prend soin d’elle et est un leadership pour son peuple qui lui rend bien. Une Europe enfiévrée par la recherche de l’absolue justice tourne autour d’elle. Le bonheur suffit aux ambitions de sa philosophie sociale.
Elle est « une croissance socialement inclusive et respectueuse de l’environnement »
Prenons exemple
Tout le monde individuellement et intérieurement veut être le meneur de sa propre vie.
Chaque individu veut une vie qui lui correspond où il est épanouie
Alors qu’est ce qui empêche les gens de le faire?
je vais prendre exemple d’une femme de la tribu Masaï.
Elle ne voulait pas se marier mais étudier être autonome avoir son cheptel de chèvre non pas le jour de son mariage comme dote mais en les ayant acheté grâce à l’argent qu’elle avait gagné.
cet argent lui permet en partie de payer sa famille pour s’occuper de son cheptel. C’est un peuple qui vit sur la terre battu au milieu de la savane Kényane.
Un peuple qui excise ses femmes, scarifie et arrache les incisives dés le plus jeune âge pour que tout le monde sache de quelle tribu ils sont.
Elle aime son Pays, sa tribu, ses coutumes et par dessus tout sa savane même si les éléphants peuvent l’écraser, même si elle s’est faite attaqué par un buffle.
Elle décide de rentrer dans les Rangers et protéger sa faune sa flore locale des braconniers.
Elle est une femme, elle travail, fait respecter les lois, protège la nature.
Elle est meneuse de sa propre vie, de son projet.
Alors oui on peut!
Des exemples il y en a des tonnes, le jeune réfugié que ses parents ont laissé partir pour une vie meilleur ou l’enfant d’immigré arrivé dans un pays aux usses et coutumes différent, la femme qui ne veut pas dépendre d’un mari mais veut une carrière à elle, le sportif qui surpasse ses limites à chaque entrainement pour être le meilleur à cette compétition et atteindre son graal.
Alors Oui des jours on doute, des jours on se blesse, des jours on perd OUI.
Mais le challenge en vaut toujours le coup et les leçons sont si constructive.
Seul on avance, ensemble on va plus loin.